L’histoire de Cédric, qui décide de quitter la grande distribution une bonne fois pour toutes !
Je vais vous parler de Cédric, 32 ans, qui travaille depuis l’âge de 20 ans dans la grande distribution.
Il a travaillé dans différentes enseignes ; à différent postes.
Depuis 2 ans il est responsable du rayon bazar dans un hypermarché à Antibes. Il travaille beaucoup ; fait beaucoup d’heures sup, mais cela ne le gêne pas ; d’abord il n’a pas de contrainte familiale, ensuite c’est naturellement un bosseur. Certains de ses collègues, et même son boss, travaillent beaucoup moins que lui.
Progressivement il ressent moins de plaisir à aller travailler le matin…
Et un beau jour, un évènement va tout changer. Il avait mal étiqueté une petite girafe, au rayon bazar.
Rien de bien grave, et pourtant, son chef le convoque, et lui passe un long savon ; juste pour une petite girafe.
C’est la goutte qui fait déborder le vase ; il a l’impression de ne pas être récompensé de tous les efforts qu’il fournit depuis tellement d’années…
Il regarde rapidement sur internet, et contacte Timeto pour faire un coaching post bilan de compétences.
Le début du coaching confirme ce que Cédric pressentait : il fournit beaucoup de travail car il a peur d’être mal jugé ; il a besoin de reconnaissance et a horreur des conflits. Mais il montre également que Cédric a horreur du changement (aie..).
Un accompagnement va l’aider à prendre du recul face à sa situation professionnelle qui était devenue étouffante pour lui.
Progressivement, il arrive à rire de la désorganisation qui règne à son travail et à se sentir un peu moins responsable.
3 mois après, Cédric a beaucoup évolué. Physiquement d’abord ; il s’est ‘pris en main’, et a perdu 15 kgs. Mentalement aussi, il est beaucoup plus sûr de lui, et se sent prêt à changer de travail. Il décide de se mettre à son compte, dans la vente. Il s’est beaucoup renseigné ; et a suivi plusieurs formations afin de mettre le plus de chances de son coté. Et puis, il a réfléchi ; d’abord il n’a pas de famille à charge ; donc les mois de vache maigre ne lui font pas peur. Et puis, ‘au pire’, il pourra toujours retourner dans la grande distribution.
Il négocie une rupture conventionnelle (qui ne s’était pas déroulée comme prévu, mais au final tout s’est arrangé) ; et quitte l’entreprise.
Ensuite, il démarre une nouvelle vie professionnelle en tant qu'agent immobilier.
Il a réussi à trouver une entreprise avec des valeurs humaines, et est fier d'utiliser à la fois ses aisances relationnelles, et son organisation. Il se sent participer
aux projets de vie des clients qu'il accompagne.
Il se sent en accord avec ce choix ; se demande comment il a fait pour rester autant de temps dans une entreprise qui ne lui convenait pas ;
il ressent un sentiment de justice.
Nadia : se prépare à quitter définitivement la vente !
Nadia a 36 ans. Elle est vendeuse dans une boutique de vêtements depuis 5 ans.
Elle y est rentrée une fois son bac en poche, grâce à une amie qui avait fait passer son CV auprès de la directrice.
Au départ ca lui plaisait, mais progressivement le stress se fait ressentir.
La vente en ligne fait de plus en plus de concurrence au magasin, et la direction continue à maintenir des objectifs de vente très hauts.
Les résultats ne suivent pas ; et Nadia ne peut rien faire..
Elle commence à aller à son travail la boule au ventre, elle se sent désemparée. Le plaisir qu’elle prenait à son travail a complètement disparu.
Au bout d’un moment, elle prend conscience qu’elle stresse pour … rien. Juste des objectifs commerciaux qui ne tiennent pas compte de la réalité.
Elle décide de faire appel à un centre de bilans de compétences, pour y voir plus clair. Elle fait appel à TIMETO, car c’est le 1er centre qui répond à ses demandes de renseignements.
Lors du bilan d’orientation elle apprend qu’elle est faite pour différents métiers ; dont celui d’auxiliaire puéricultrice.
Elle savait, avant de faire le bilan, qu’elle était faite pour le domaine social mais n’avait pas d’idée plus précise.
En étudiant les caractéristiques du métier (salaire, temps de formation) elle est rassurée ; la réorientation lui semble tout à fait faisable.
Elle se renseigne auprès de personnes de son entourage exercant comme auxiliaire de puériculture, cela la conforte dans sa motivation. De plus, sa mère, aide soignante lui parle des métiers du soin. Elle se sent de plus en plus confortée.
Finalement, elle monte un dossier de demande de financement auprès du Fongecif.
La demande sera malheureusement refusée car d’autres dossiers sont plus prioritaires.
Le Fongecif finance en priorité les formations auprès des personnes dont l’emploi est menacé.
Nadia sait que tout n’est pas perdu. Elle peut utiliser d’autres financements.
Elle a hâte que la prise en charge soit acceptée; à présent elle sait quelle direction prendre ; elle sait que sa réorientation n’est qu’une question de temps.
Le bilan de compétences l’a aidée à prendre du recul ; à prendre des décisions réfléchies.
A présent, quand sa directrice lui fait des reproches, elle arrive à prendre du recul, car elle sait que son avenir est ailleurs.
Marianne : réussit à trouver le travail de ses rêves.. dans l’entreprise où elle travaillait !
Marianne, 47 ans, est assistante administrative dans une grande entreprise en région parisienne.
Quand elle était plus jeune, elle n’était pas faite pour les études ; elle avait d’ailleurs loupé son bac, ce qui l’avait découragé à continuer sa scolarité.
Elle s'était mise à chercher un emploi et avait trouvé un poste d’opératrice de saisie. Progressivement, elle avait évolué dans l’entreprise et était devenue assistante administrative.
Son travail lui plait.
Mais un jour, la curiosité vient la titiller ; elle se demande : ‘Et si je pouvais faire autre chose’.
Elle se sent bien dans son travail, mais, en même temps, il n’a jamais été une passion non plus. Peut être qu’à la quarantaine, on a besoin d’évoluer..
Bref, elle décide, sur un coup de tête de demander des informations à des centres de bilans de compétences. La démarche de Timeto lui parait intéressante ; elle se dit ‘pourquoi pas’.
Lors du bilan, ce qui la marque particulièrement, c’est le test de personnalité ; et en particulier les résultats ‘psychotechniques’ concernant la confiance en soi, l’estime de soi, etc.. Elle n’avait jamais pris conscience que si, jusque là, elle n’avait pas cherché à avoir un poste 'meilleur' que le sien c’était tout simplement car au fond d’elle, elle ne s’en sentait pas capable.
Elle décide qu’il est temps de progresser, et demande à sa coach un accompagnement pour l’aider à avoir plus confiance en elle. Avec des exercices pratiques, elle parvient à se rendre compte qu’elle est capable d’avoir plus de responsabilités, de prendre des décisions, etc.
Finalement, son échec au bac l’avait conditionné dans l’idée que ‘le succès est plus pour les autres’.
Elle voit du coup son travail sous un nouveau jour. Il lui satisfait toujours, mais elle prend plus de recul, devient plus observatrice, se sent moins ‘le nez dans le guidon’.
Environ 6 mois après le bilan, coup de théatre, sa direction lui propose un nouveau poste : ‘Gestionnaire technique’. Elle accepte. Elle est sereine ; elle sent qu’elle a les capacités pour ce poste. Et elle se sent encore mieux ; ses fonctions ont changé ; elle a plus de responsabilités.
Cela fait maintenant 1 an qu’elle exerce ses nouvelles fonctions.
Elle pense que si elle n’avait pas fait le bilan, elle ne se serait pas senti capable. Elle l’aurait peut être accepté mais ca lui aurait été pénible au quotidien.
Finalement, une petite idée, à un moment donné, lui a permis de découvrir ses capacités, et d’évoluer en douceur dans son entreprise
Laurent : tiraillé entre une hiérarchie insupportable et les avantages (salaire, ..) de son poste. Finalement il trouvera la solution !
Laurent, 51 ans, est responsable commercial dans une grande marque d’alcool.
Il a travaillé dur pour atteindre un poste avec de telles responsabilités ; il éprouve une certaine fierté d’être parvenu à un tel niveau, à la fois en terme de fonction qu’en terme de salaire.
Depuis quelque temps pourtant, il ne supporte plus sa hiérarchie.
De nouveaux chefs sont arrivés, et prennent des décisions qui servent leurs intérêts personnels au détriment de l’entreprise.
Au départ, cela l’agaçait simplement, il a essayé de leur expliquer ce qui n'allait pas dans leur résonnement ; mais il s'est vite heurté à leur mauvaise foi.
Nerveusement c’est devenu très dur. Il est tiraillé entre les objectifs de l’entreprise et ce que souhaitent les clients (distributeurs et finaux).
C’est très dur psychologiquement de voir ses valeurs personnelles complètement bafouées.
Son entreprise est cotée et les valeurs humaines disparaissent progressivement au profil de l’aspect politique.
Au bout d’un moment, il lâche nerveusement et se retrouve dans une sorte de burnout. Le médecin l’arrête pendant une semaine.
Il décide alors de faire un bilan de compétences, ne sachant pas trop sur quoi cela débouchera mais après tout.. il ne peut pas rester dans cette situation.
Il contacte plusieurs organismes, et passent plusieurs entretiens d’information au téléphone.
La démarche flexible de Timeto lui plait, puisqu’il n’a pas tellement d’idée sur sa recherche.
Dès les 1ers tests il est content de sa démarche ; il les trouve intéressants et pertinents.
De plus, il noue un très bon contact avec sa coach ; il ressort à chaque fois boosté des entretiens.
En résumé le bilan l’aide à prendre du recul, à se projeter dans le futur sans non plus l’idéaliser.
Il décide de garder son poste, mais de créer une SCI en parallèle, afin de gérer des biens immobiliers ; il va donc acheter des logements, les rénover et les louer.
Ce nouveau départ a été difficile sur le moment ; il a eu des doutes ; il était dans une période de burnout, et il venait d’avoir un petit garçon qui l'empêchait de dormir la nuit.
Il a confiance en lui, et s’est appuyé sur cette confiance pour ‘faire les choses bien’.
Il s’est entouré de personnes qui lui ressemblent ; fiables. Il s’est appuyé sur un ami avocat, un autre qui était courtier et l’a coaché sur le discours à tenir auprès des banques. Il a baissé le rythme.
Le bilan a été pour lui un starter ; il prenait les choses personnellement et n’arrivait plus à discerner ce qui était urgent de ce qui ne l’était pas.
Il a beaucoup aimé le discours de sa coach : ‘Prenez le temps de reprendre plaisir dans votre travail.
Si c’est partir pour avoir un échappatoire ca ne règlera pas le problème’. ‘Faites les choses tranquillement’.
Cela correspondait avec sa manière de voir les choses.
Il a acheté une maison dans une ville à forte demande et l’a transformé en appartement. Il s’est senti poussé des ailes, il a même fait des propositions d’achats sans visiter le bien.
Maintenant plusieurs années ont passé depuis son bilan de compétences et le démarrage de sa vie professionnelle ‘double’. Son activité immobilière ne lui prend pas tellement de temps ; il se sent beaucoup mieux à son travail ; il a trouvé un équilibre. Il a compensé un travail stressant avec une activité épanouissante.
Philippe : il exerce enfin le métier de ses rêves … à 57 ans !
Philippe, 57 ans, exerce depuis bien longtemps le métier d’agent de sécurité à l’aéroport de Nice.
Les horaires ne sont vraiment pas drôles… lever tous les jours à 3h du matin.
Il a pris ce poste un peu par hasard ; il n’a pas suivi d’études et s’est dirigé là où le vent l’emmenait.
Depuis quelques années, il ressent un ras le bol quand il doit partir travailler…
Il doit supporter des passagers de plus en plus désagréables.
Parfois il se fait même insulter, sans pouvoir répondre.
Ses proches lui conseillent de faire un bilan de compétences.
Il n’y croit pas trop ; mais, pourquoi pas. Il choisit le centre le plus proche de chez lui ; Timeto.
Il apprécie la sympathie, la compétence et l’ouverture d’esprit de sa coach.
Lors du bilan d’orientation ; la piste de mécanicien nautique apparait. Ce sera pour lui une révélation.
Malgré son âge, (56 ans au moment du bilan), il se lance dans un CQP Mécanicien nautique.
Il a eu des doutes au moment de prendre cette décision. Repartir à l’école à 56 ans, ce n’est pas facile.
L’électricité et l’électronique ce n’était pas du tout son domaine.
Progressivement il s’est senti plus à l’aise, et a réussi son examen le 28 avril.
Il voulait juste ‘avoir une vie normale’ et n’en pouvait plus de ses horaires décalés et le manque total de reconnaissance.
Le bilan a servi de déclencheur.
Quand il a commencé sa formation il a tout de suite ressenti un bien être, une libération. « On m’a enlevé mes chaînes ».
Il se sent bien dans sa reconversion professionnelle.
Ce qu’il dit de ce nouveau travail ? « Je ne sais pas pourquoi je n’y avais pas pense.
Je ne comprends toujours pas pourquoi cette idée ne m’était pas venue. Ca me convient complètement. Ca me plait énormément »